Álex Barahona vient d’intégrer le casting de la fiction quotidienne Amar es para siempre dans le rôle de Nicolas Campos. Un homme épris de vengeance dans une autre époque. Un personnage qui le change de celui qui a permis au français de le découvrir dans Physique ou chimie. L’acteur nous confie ses sentiments sur cette nouvelle étape de sa carrière.
Comment définis-tu Nicolas?
Nicolas est né à Marseille car ses parents ont émigré. Sa mère est morte pendant la guerre et son père a été assassiné. Il veut venger sa mort. Ce n’est pas un mauvais type, mais il veut tuer ceux qui ont tué son père. C’est pour cette raison qu’il est revenu en Espagne pour chercher les assassins dans l’environnement du Café Reyes.
Qu’est ce que tu préfères dans ton personnage? Qu’est ce que tu apprécies le moins?
J’aime pouvoir travailler le sentiment de vengeance par rapport à la mort de son père et à la fois la capacité du personnage à pouvoir tomber amoureux et cultiver son amitié… Ce que j’apprécie le moins c’est sa détresse face à son abandon. Sans père ni mère avec seulement une soeur, ça me fait de la peine.
Qu’est ce qui t’a fait accepter ce rôle?
Beaucoup de choses. Personnellement j’avais envie de revenir travailler un personnage régulier à la télévision. Professionnellement, travailler dans Amar es para siempre, c’est tout un apprentissage.
Comment se passe l’arrivée de ton personnage dans Amar es para siempre?
Je cherche une personne, l’assassin de mon père et je commence à le chercher dans l’environnement du Café Reyes. On m’a dit d’aller là-bas, parce que j’ai quelqu’un, un informateur m’a dit qu’il était là-bas… Jusqu’ici, je peux lire (rires)
Il cherche la vengeance, mais va-t-il trouver l’amour?
Oui, mais tu peux imaginer que ça ne va pas être facile…
Comment te vois-tu dans les costumes de la série?
J’hallucine en voyant la quantité de nuances qui peut exister au moment d’habiller un personnage pour réussir à le transposer dans une époque car avec la mode, on ne sait pas, ça peut être antique. Un vestiaire, un maquillage et un salon de coiffure dont un grand travail en nous aidant. Je suis à l’aise et avec la sensation d’être mon grand-père (rires).
Comment as-tu été accueilli sur le tournage?
Les séries diffusées quotidiennement sont très dures. Beaucoup de textes, beaucoup d’étude et peu de temps .. Le niveau de stress monte en flèche. Les compagnons sont comme une méditation. Chaque fois que j’ai eu besoin de cela ils me tranquillisent, ils aident et grâce à eux, mon incorporation au sein de ce rythme de travail soutenu est un plaisir.
Tu avais déjà travaillé avec Andrea Duro dans Physique ou chimie. Avais-tu déjà travaillé avec d’autres acteurs du casting?
J’étais avec Javier Hernández dans « Sufriendo » durant deux ans et nous partagions une loge.
Je suppose que c’est beaucoup de pression d’entrer dans une série déjà consolidée comme Amar es para siempre?
Oui, comme je l’ai dit précédemment, c’est comme monter dans un train à grande vitesse alors qu’il est en marche. De plus, il faut s’adapter à une autre époque. Au début, ce sonne dans ta tête c’est ‘Comment le faire? Mais tout le monde t’aide.
Que possèdent les fictions comme Amar es para siempre et El secreto de Puente Viejo pour triompher sur Antena 3?
Du travail, beaucoup de travail et de l’engagement.
La série Amar es para siempre est voir du lundi au vendredi à partir de 16h20.
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Source : informations issues de la oficina prensa virtual de antena3t.